L’École des Coups Durs

2.7 Conclusion

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Personne ne demande à fréquenter l’École des Coups Durs, et pourtant chacun y passe. Certains n’en aperçoivent que les couloirs; d’autres y passent des années. Elle ne vous note pas sur des dissertations ou des examens soignés. Elle vous évalue sur la résilience, l’honnêteté et la capacité à affronter l’adversité sans vous perdre.

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Vous avez vu son programme :

• Des personnages qui frustrent et trompent.

• Des contrepoids qui guident et inspirent.

• Une réputation qui peut se briser en un instant.

• Une douleur qui laisse des cicatrices mais aussi de la sagesse.

• Des leçons qui, une fois apprises, restent pour la vie.

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Ce n’est pas une école aimable, mais c’est une école efficace. Son prix est élevé, payé en stress, en fatigue et en déception. Pourtant, ses diplômés emportent quelque chose d’inestimable : résilience, discernement, perspective et caractère.

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Le danger n’est pas de passer par l’École des Coups Durs. Le danger est de ne jamais en sortir — de laisser son amertume vous endurcir en cynisme, de rester trop longtemps dans des lieux qui vous diminuent.

La valeur réside dans la reconnaissance des leçons, dans le fait de les emporter, et de continuer plus fort, plus avisé, plus enraciné.

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Vous ne pouvez pas éviter l’École des Coups Durs. Mais vous pouvez décider quel genre de diplômé vous serez.